Enfant "fumant de l'air" dans une pipe en merisier. France. 1er tiers du XXe siècle.
 

 

Le foyer de la pipe est taillé dans une branche de merisier.
introduction
"Tout ça ne vaut pas
          une bonne pipe"
Bourrer, allumer,
        fumer, vomir !
"Encore un
         nouveau ministère !"
"Une bonne pipe
         et un journal."
"La première pipe"
"Après les premières
        bouffées Quoiqu'c'est
        donc j'ai, je m'sent tout
        chose !"
"Première pipe"
une parfaite imitation
        des cartes postales !
"Plus moyen de fumer
         une bonne pipe"
Vous êtes ici : "Après les premières bouffées Quoiqu'c'est donc j'ai, je m'sent tout chose !"
 

Légende : "Après les premières bouffées Quoiqu'c'est donc j'ai, je m'sent tout chose !"
Cette carte a été affranchie le 3 juin 1918.

Il est possible d'identifier la pipe que fume ce petit breton.

Il s'agit d'une pipe à couvercle dont le foyer en porcelaine flammée représente une tête de femme couronnée, la "Ville de Marseille".

Cette pipe ne porte pas la marque d'un fabricant. Certains comme l'expert Bernard Mamy font de cette tête de pipe une création de la maison BONNAUD à Marseille (dimanche 28 janvier 2001 - lundi 29 janvier 2001, Drouot-Richelieu, Tabacologia, Collection de Madame T… et divers, Mes O. RIEUNIER & BAILLY-POMMERY, Commissaires-Priseurs Associés).

 

La flamme, de couleur jaune moutarde à marron est en fait un faux culottage qui permettait au fumeur d'arborer une pipe aux couleurs parfaites, sans s'être donné la peine de passer des heures à obtenir ce magnifique résultat. Une pipe au culottage authentique était toujours source de fierté pour son fumeur.

On rencontre relativement souvent cet objet sur le marché.
sur notre exemplaire la bague de la douille est manquante et le lien qui raccorde la tête de pipe au tuyau n'est pas d'origine.
Le plus souvent, malheureusement, le visage formant tête de pipe a le nez cassé. C'est la très grosse faiblesse de ce modèle.

 

 
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